Pour ce concert assuré en quartet avec les musiciens Klaus Gesing (clarinette basse), Bjorn Meyer (basse) et Khaled Yassine (darbouka et bendir), Anouar Brahem a choisi de jouer son album «The Astounding Eyes of Rita».
Le maître du oud tunisien, Anouar Brahem, s’est produit avec brio vendredi soir, pour la première fois, à l’Institut du monde arabe (Ima) à Paris.
Pour ce concert assuré en quartet avec les musiciens Klaus Gesing (clarinette basse), Bjorn Meyer (basse) et Khaled Yassine (darbouka et bendir), Anouar Brahem a choisi de jouer son album «The Astounding Eyes of Rita», ou «Les yeux renversants de Rita», le titre de son album réalisé en 2009 pour rendre hommage au poète palestinien Mahmoud Darwich décédé en 2008.
«Ce soir, j’ai présenté au public parisien “Les yeux renversants de Rita”, car ça fait longtemps que je ne l’ai pas joué», a déclaré à l’agence Tap Anouar Brahem, tout en rappelant qu’il a présenté le 8 avril 2018 son dernier album « Blue Maqams», à la Philharmonie de Paris dans le cadre de sa tournée en Europe.
Durant presque deux heures, le maître du oud et les musiciens ont fait voyager le public dans un monde de musique méditative où le jazz et les notes orientales dialoguent en permanence.
Le quartet a joué plus de huit titres, notamment «Amoureux de Beyrouth», «Danse avec les vagues», «Sur le fleuve» et «Les yeux renversants de Rita».
Sa musique sublime et envoûtante a été longuement applaudie par le public parisien qui a eu droit à la fin du concert à son fameux titre «Halfaouine», un clin d’œil qui rappelle son attachement à la Tunisie, où, d’ailleurs, «le hasard a fait que j’y présente à chaque fois mes trois derniers albums en première», a-t-il mentionné, tout en indiquant qu’il «attend de réaliser un nouvel album pour donner rendez-vous au public tunisien».
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Par Khaled TEBOURBI
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