A l’occasion de la Journée mondiale de la lutte contre le sida, l’Institut de presse et des sciences de l’information (Ipsi) a organisé une journée de dépistage et de sensibilisation, à laquelle ont pris part plusieurs associations et représentants du ministère de la Santé.
Fruit d’une initiative de la part d’étudiants en master, la journée a été l’occasion pour un bon nombre d’étudiants de se faire dépister gratuitement en vue de détecter tout risque de séropositivité.
Une conférence scientifique a été également organisée, durant laquelle plusieurs thèmes ont été débattus, dont notamment la situation de ce virus en Tunisie, les formes de communication pour faire changer le comportement, le dépistage et la prévention contre l’infection par le VIH.
Notons-le, des ateliers de sensibilisation contre les risques d’infection par ce virus ont été organisés dans le cadre de cette journée en plus de la projection d’un court-métrage «Chute» portant sur cette maladie.
Elles ont réussi le défi de créer un lien entre les citoyens et les commerçants désireux de vendre à bas prix leurs invendus de la journée, et ce, par le biais d’une application mobile (Gaspi-Stop) dans le cadre de la lutte contre le fléau du gaspillage.
La FAO estime à environ 1,3 milliard de tonnes de denrées alimentaires par an perdues ou gaspillées, soit un tiers des aliments produits pour la consommation humaine. En Tunisie, c’est l’Institut national de consommation relevant du ministère du Commerce qui ne cesse de sonner l’alerte à travers des campagnes de sensibilisation, l’élaboration des études et la publication, de manière périodique, des statistiques se rapportant au gaspillage alimentaire qui coûte aux ménages tunisiens 5% de leurs dépenses alimentaires.
Chaque jour, les élèves pointent pour vérifier s’ils vont passer les devoirs selon les calendriers affichés dans les collèges et lycées ou avoir des cours. L’écrasante majorité d’entre eux sont obligés de revenir chez eux ou rester à traîner dans la rue.
Alors que le conflit s’envenime entre le syndicat et le ministère, les collégiens et les lycéens arpentent pendant des heures les ruelles de la capitale sans savoir s’ils vont passer ou non les examens.
L’escalade se poursuit entre le syndicat et le ministère de l’Education avec un secrétaire général de la Fges qui a décidé de monter sur ses grands chevaux et d’aller encore plus loin si le ministère menace d’ampute les salaires des enseignants qui ont décidé de passer à l’action en appliquant le mot d’ordre du boycott des examens lancé par la fédération. Depuis le début de la semaine bloquée...
En ce début d’hiver, la baisse du mercure risque de se faire sentir dans les foyers à cause de la pénurie du précieux pétrole bleu.
Le pétrole lampant, principal moyen de chauffage, a manqué pendant longtemps, ces dernières semaines, dans la région du Nord-Ouest alors que le mercure a sensiblement baissé partout, signe que l’hiver s’est bien s’installé dans nos murs. Un scénario avec lequel les habitants du Nord-Ouest se trouvent inévitablement contraints de composer en s’adaptant tant bien que mal aux caprices de Dame nature.
Action timide des agents de la police municipale et de l’environnement…
Depuis que les agents de la police, qui relèvent de l’autorité municipale, sont passés sous ordre du district de la police en 2011, on vit dans un désordre total à Bizerte. En effet, il est rare en cette période d’incertitude et de confusion par laquelle passe notre pays de voir la police municipale se hasarder à intervenir pour ramener à la raison des personnes qui ne respectent pas la loi et encore moins les sanctionner. Il est pratiquement utopique de la voir réagir de son propre gré devant des situations difficiles. Nous pensons notamment aux étals anarchiques qui pourrissent la vie des Bizertins et qui gâchent la beauté de la ville.
Un mardi matin à l’hôpital Aziza Othmana pourrait se transformer parfois en un véritable cauchemar pour certains patients, en raison des services jugés très lents par les malades. Pourtant, à 11h00, aucune forme d’encombrement n’est à observer à l’exception du service d’accouchement qui connaît une grande affluence, étant donné qu’il s’agit de la spécialité de cet hôpital.
Les analyses de la police technique ont confirmé que la drogue saisie n’a rien à voir avec une drogue de synthèse communément appelée «flakka» ou «drogue de zombie»
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