Tout ce qui figure dans ce dossier confirme le renforcement d’un esprit permissif qui gagne notre société et qui prend de l’ampleur. On ne peut rester les bras croisés et attendre la catastrophe qui s’annonce. Il y va de la sécurité de toutes les parties prenantes du sport, à tous les niveaux.
Vaste chantier que cette sécurité que l’on doit assurer aussi bien pour le pratiquant que pour le public comme pour les autres parties prenantes du sport de compétition ou de loisirs.
Au sein des pays développés, il y a des lois strictes qui régissent cette question de sécurité et en consultant ces lois et réglementations en vigueur, tout y est soigneusement consigné.
Les pratiquants ont leurs droits, les organisateurs (qui ne sont pas des agents de police) ont les leurs et le public qui bénéficie également de textes clairs et précis où son accueil, la qualité de cet accueil et les prestations minimums sont assurés.
Si nous considérons que la sécurité se limite à une affaire de service d’ordre et de police, nous allons droit dans le mur. La sécurité, dans n’importe quel domaine, est avant tout une question de conscience qui anime, motive, conseille et éveille l’aspect positif et les réflexes de bon sens qui se trouvent en chacun de nous.
Reflet de la société
C’est d’abord une question de milieu ambiant. C’est ensuite une question de comportement de société qui rejaillit dans les choix que fait cette société.
Pour être plus explicite, posons-nous une simple question : avec l’avènement des moyens de communication, avons-nous agi de manière positive pour exalter cette liberté et cette démocratie conquises de haute lutte ?
Pour y répondre, commençons par voir quelques titres qui barrent les pages d’un certain nombre de médias :
-La consommation de drogue dans le milieu scolaire est en progression. Trente et un pour cent des élèves interrogés (entre 15 et 17 ans) ont avoué avoir consommé, au moins une fois, de la drogue, sous différentes formes. La consommation a doublé en l’espace de trois ans.
-Arrestation de cinq individus, dont trois élèves, à la suite d’une attaque dirigée contre une école. Des dégâts importants ont été enregistrés.
-Des élèves ont attaqué à l’aide de cocktails Molotov un établissement scolaire, causant d’énormes dégâts.
-Il poignarde et tue son frère de deux coups de poignard.
-La maman gifle un enseignant et le père l’agresse sauvagement.
-Navrant spectacle de représentants de la nation qui se décochent des noms d’oiseaux en public et confondent liberté d’expression et vulgarité.
Si nous y ajoutons un arbitre évacué sur une civière parce qu’il a été « caillassé » ou un gamin qui perd la vie pour avoir été au stade, la boucle est bouclée.
Nous pouvons continuer à énumérer ce genre de nouvelles qui apparaissent dans les premières pages des journaux au point de se demander si les parents peuvent, de nos jours, ramener à la maison un journal où fleurissent des titres pareils et quoi répondre si un enfant vous demande s’il est possible de tuer son frère, ou qu’est-ce que c’est qu’une drogue et s’il lui est permis d’en goûter.
Des fondamentaux qui s’effritent
Voilà campé le décor dans lequel nous vivons depuis au moins sept à huit ans. Il n’y a pas donc de surprise. Notre société est en train de s’effriter sous nos yeux. Ni les éducateurs préoccupés par leur situation personnelle, ni les élèves qui, par les temps qui courent, passent plus de temps dans la rue qu’en salle de classe, ni les parents souvent débordés et complètement dépassés n’y peuvent rien. Une lame de fond semble emporter tout ce que bien des générations ont mis en place. Tout concourt, pour le moment, à ce que cette descente aux enfers aboutisse. A moins d’y mettre fin en revenant aux fondamentaux. Mais cette reprise en main ne saura réussir qu’au prix d’un grand effort qui viendrait réimposer cette rigueur perdue et ce respect devenu la qualité la moins partagée.
Qui sait actuellement ce qui se passe dans un club sportif avec des présidents qui menacent tous les jours de démissionner. Les pratiquants, surtout les jeunes, sont-ils protégés ? Subissent-ils des visites médicales ? Possèdent-ils une fiche qui, en principe, devrait les accompagner tout au long de leur carrière ?
Le sport en toute sécurité
En France, il y a ce qu’on appelle les « règles d’or » pour faire du sport en toute sécurité :
Ces règles d’or sont édictées par le Club des cardiologues du sport. Elles consistent à faire attention à sa santé, à respecter certaines consignes simples et de bon sens, à surveiller les signaux anormaux et à ne pas hésiter à aller consulter son médecin traitant.
Le pratiquant est tenu de signaler à son médecin toute douleur dans la poitrine ou tout essoufflement anormal survenant à l’effort. A signaler toute palpitation cardiaque survenant à l’effort ou juste après l’effort ou tout malaise. Il doit s’astreindre à un échauffement et une récupération de 10 mn lors de ses activités sportives. Il doit boire 3 ou 4 gorgées d’eau toutes les 30 mn d’exercice à l’entraînement comme en compétition. Le pratiquant est tenu de surveiller les activités intenses par des températures extérieures en dessous de -5°C ou au-dessus de +30°C et lors des pics de pollution. Il s’engage à ne pas fumer dans les 2 heures qui précédent ou qui suivent la pratique d’une activité sportive, à ne pas consommer de substances dopantes à éviter l’automédication en général. Il évite de faire du sport intense s’il a de la fièvre. De subir un bilan médical avant de reprendre une activité sportive s’il a plus de 35 ans pour les hommes et de 45 ans pour les femmes.
Une forte pression
Les compétitions de football sont soumises à de fortes pressions. Les tentations sont énormes et aucune disposition de contrôle antidopage n’est prise. Comment protéger les joueurs ?
Nous avons tenu à donner cet exemple pour démontrer que la pratique du sport est une responsabilité à assumer par les différentes parties prenantes. Qui en tient compte chez nous ?
Dernièrement, le MJS et la FTF se sont engagés à contribuer à l’achat d’appareils à mettre à la disposition des équipes. C’est bien, mais pour quelles sections ? Les jeunes en profiteront-ils ?
La sécurité c’est aussi la qualité des installations sportives destinées aussi bien aux entraînements qu’aux compétitions. Nous savons que nos installations, faute d’entretien, tombent en déliquescence. D’où des accidents et des incidents enregistrés chaque semaine. La conception de nos stades n’a pas évolué et le public y rentre comme dans une écurie (excusez le terme). Il n’y a pas d’eau, de buvette. Les blocs sanitaires sont dans un état lamentable.
Est-il nécessaire de rappeler l’état des gradins, des orifices ou vomitoires qui permettent d’évacuer le public de façon normale ou en cas de sinistre. Il y a toujours une porte fermée lorsqu’elle devrait être ouverte et ouverte lorsqu’elle devrait être fermée. La clé est toujours quelque part et personne ne sait où elle est.
La qualité des installations
Nous connaissons les répercussions de ces handicaps, de cette promiscuité coupable.
En effet, au niveau des installations d’entraînement, les choses sont pires.
A titre d’exemple, une « salle » a été aménagée dans des vestiaires à l’école normale supérieure d’éducation physique de Kassar Saïd. (Nous y reviendrons !)
Comment peut-on assurer la sécurité des pratiquants si les équipements de sport et les agrès ne sont pas conformes aux directives et aux normes. Les risques d’accidents sportifs sont les plus faibles lorsqu’il y a des équipements de protection. Qui en possède ?
Quant à l’organisation, elle demeure le dernier souci de ceux qui en devraient être responsables : les clubs qui s’en remettent au seul service d’ordre alors que ce n’est point son rôle.
Cela nous rappelle cet animateur de TV qui dandinait de la tête lorsqu’un de ses invités a soulevé le cas des « stadiers ». Il n’était pas convaincu, parce qu’il donnait tout simplement l’impression qu’il ne savait même pas de quoi il s’agissait.
Dans tous les pays du monde évolué on a recours à ce corps formé pour l’organisation.
On en a parlé chez nous, mais juste pour siroter du thé et grignoter des petits fours.
Et c’est le service d’ordre qui reste confronté au public. Jusqu’à quand ?
Le MJS et la FTF doivent réagir.
Voilà ce que nous relevons dans la réglementation régissant l’organisation en France :
« La sécurité de la manifestation sportive relève avant tout de l’organisateur de la manifestation qui doit assurer la sécurité tant des sportifs que des spectateurs. Dans ce cadre, il doit respecter la réglementation relative aux équipements sportifs et veiller aux démarches d’homologation de l’enceinte sportive. Il lui appartient également de se conformer aux règles relatives à la notion d’établissement recevant du public et aux règles édictées par sa propre fédération. L’organisateur doit souscrire une assurance couvrant sa responsabilité civile, celle de ses préposés ainsi que celle des pratiquants ».
Le rôle de la police est bien ailleurs.
De toutes les façons, le « tout répressif » a été essayé partout dans le monde et cela n’a rien donné. Des jeunes menottés ou gardés à vue, c’est dépassé. On a recours à des moyens plus pédagogiques. Il faut dialoguer et même responsabiliser les meneurs.
De toute évidence, personne ne comprendra que pour promouvoir un match national ou international on montre des gradins enflammés mais on sanctionne les publics qui utilisent des fumigènes.
Au vu de la situation qui règne, ce dossier est très important. Il mérite réflexion et non pas seulement une réunion pour créer des commissions chargées de l’enfouir dix pieds sous terre.
Tout ce qui figure dans ce dossier confirme le renforcement d’un esprit permissif qui gagne notre société et qui prend de l’ampleur. On ne peut rester les bras croisés et attendre la catastrophe qui s’annonce. Il y va de la sécurité de toutes les parties prenantes du sport, à tous les niveaux.
Par Jalel Mestiri
Il ne faut pas se laisser terroriser : la violence est pour stade ce que la pesanteur est pour la gravitation terrestre. À l’image des techniques de l’aéronautique qui permettent à la masse d’un avion de déjouer la loi de la nature, la sécurité dans un stade doit être analysée comme la recherche de l’application de moyens permettant d’entraver ou de limiter les effets de la fatalité.
Il faut sévir…
«Le sujet a été abordé à plusieurs reprises, mais le mal est toujours là. Et ça va de mal en pis ! C’est qu’on ne l’a pas traité sérieusement. On parle beaucoup, mais on agit timidement dans les centres de décision.
«Si le comportement de certaines franges des tribunes pose toujours problème à l’heure actuelle, force est toutefois de constater que les manifestations de violence physique à l’occasion des matches de football de première division sont l’émanation d’un mal-être social».
Il est de plus en plus toléré d’agresser ou de harceler un arbitre ou un adversaire, vu que les textes sont mal appliqués et que les fautifs demeurent assez protégés
Dans l’espace public, y compris dans nos enceintes sportives où le fair-play devait être le crédo de tous ceux qui s’y trouvent, on n’est plus à l’abri d’une éventuelle agression verbale ou même physique. C’est que le sentiment d’impunité s’est emparé de la population et les conséquences se font de plus en ressentir, particulièrement dans nos stades de football. Des mesures s’imposent…
«A vrai dire, la violence n’est pas le propre des stades. C’est un phénomène sociétal qui prend de plus en plus de l’ampleur. Il est le résultat de plusieurs causes. A leur tête le relâchement et la démission des autorités quant à l’application de la loi et des règlements.
Le public, de par ce qu’il est en train de vivre comme injustices, difficultés et déceptions, trouve dans les stades le meilleur espace pour se défouler et exprimer sa colère. Mais cela ne justifie aucunement les graves écarts de conduite envers la sécurité des personnes et des biens publics et personnels.
«Il faut se pencher sur une série de dimensions connexes au problème de la sécurité des stades, telles l’éventuelle politisation des tribunes et la consommation de produits stupéfiants par certains supporters de football».
«On ne le repète jamais assez, la seule solution pour éradiquer la violence et le chaos dans nos stades, c’est le châtiment. Plus on est permissif en laissant libre cours aux dépassements sans sévir, plus les choses vont se dégrader davantage. Les conséquences graves du dilettantisme, de la nonchalence et de la badinerie avec la discipline vont aller crescendo et atteindre des degrès très regrettables. J’ai même l’impression que personne ne veut assumer ses responsabilités comme il se doit.
… souligne l’ex-président de la CCA de la FTF, qui affirme que tout le monde est responsable de ce fléau.
«Depuis quelque temps, de nombreux clubs et supporters ont été sanctionnés à cause de débordements dans leurs stades. Les spectateurs sont devenus un réel problème.
«Les stades et la pelouse ne sont plus fréquentés uniquement par les techniciens et les joueurs. C’est une habitude de voir des intrus partout dans les différents moments d’un match. On se demande qui les autorise à entrer et se déplacer librement ? Ces dépassements sont devenus une opportunité pour agresser l’arbitre ou le staff technique ou même les joueurs.
Effectuer des fouilles minutieuses pour éviter l’entrée sur les gradins de bouteilles et autres objets qu’on pourrait utiliser comme projectiles. Il faut également filmer les fauteurs de troubles, les identifier et leur interdire l’accès aux stades.
S’il le faut, faire durcir la loi…
«Saison après saison, la violence dans les stades gagne de plus en plus des proportions inacceptables.
Il ne se passe plus une journée sans qu’il y ait des incidents ici ou là. Le pire est que, parfois, le grabuge se situe au sein du même public. Ce qui est encore plus grave.
Notre interlocuteur estime que, pour assurer la sécurité de tous les acteurs d’un match de football, les entraîneurs, les arbitres et même les accompagnateurs doivent bénéficier comme les joueurs d’une assurance tout risque…
… affirme l’un des dirigeants hammamlifois qui a mis le club banlieusard sur le bon chemin.
«Le football est une fête, n’est pas devenu un slogan creux au fil des ans. Depuis une dizaine années, les supporters des clubs ont déserté les stades en raison de la violence et l’insécurité qui ont engendré ce fléau.
Une parité heureuse pour les Etoilés face à un CSS aux arguments solides qui ne méritait pas de perdre
Stade oplympique de Sousse. Pelouse en bon état. Temps doux. Public assez nombreux. Arbitrage de l’Egyptien Mohamed Hanafi. Buts ESS : B. Aziza (81’), CSS : Karoui (93’). Avertissements ESS : Raddaoui, Baâyou, CSS : Hnid,Karoui
Un match qui n’a valu que par sa 2e mi-temps
Stade olympique de Gabès. Pelouse en mauvais état. Match à huis clos. Temps beau. Arbitrage de Selim Belakhouas. SG-CAB : 1-1. Buts de Gharsellaoui (45’) et Darragi (62’ sp)
Le but régulier, refusé par le deuxième assistant pour hors jeu inexistant, a privé les «Bleus» de signer leur première victoire de la saison
Les « Sang et Or » ont réussi l’essentiel grâce à l’expérience des joueurs face à des Aghlabides en panne de solutions
Stade Hamda-Laâouani. Temps ensoleillé et venteux. Pelouse en bon état. Public nombreux. JSK- EST(0-2), buts de Khénissi (45’) et Fadaâ (67’) pour (EST). Arbitrage de Maher El Harrabi puis Mourad Jerbi. Avertissements à Métiri (JSK)
Les deux équipes n’avaient pas les ressources offensives pour débloquer la situation. Les Gabésiens ont raté quelque chose
Stade de Hammam-Lif. CSHL-ASG 1-1. (Mi-temps 0-1 pour l’ASG). Pelouse en mauvais état. Public peu nombreux. Temps pluvieux et froid. Arbitrage de Haïthem Guirat. Buts marqués pour l’ASG par Mezni (7’) et pour le CSHL par Foudai (50’).
A 21 ans, le précoce gardien du CSS a déjà fait son entrée dans la cour des grands. Après sept matches et 630 minutes, Aymen Dahmen est encore invincible. Avec ses qualités naturelles exceptionnelles, le gardien sfaxien continue d’enthousiasmer ses pairs et tous les supporters.
Nous croyons savoir de sources fiables que le BD aurait entériné la décision de maintenir le tandem De Wilde-Zaâboub à la tête de l’équipe et d’abandonner par voie de conséquence sa quête d’un nouveau timonier.
Béja sort ses griffes et monte en grade !
Les Cigognes de Béja se sont récemment imposés lors du derby du nord-ouest face à l’US Siliana. Ce succès étriqué mais précieux permet aux Béjaois de bondir au classement et de se hisser provisoirement en pôle position.
Le vice-président de l’Union Sportive de Tataouine, Taoufik El Kasser a indiqué que le comité directeur est satisfait du parcours de l’équipe après la série positive enregistrée en Ligue 1 malgré un début difficile
Par Kamel Ghattas
Un président qui démissionne en pleine gestion ? Cela est devenu normal, étant donné que la gestion est devenue un «kif» auquel on s’adonne par caprice, pour rendre service, pour se faire un nom et bénéficier des gros titres des médias. Le football n’est, après tout, qu’un jeu. Et si un président retire ses billes et ne veut plus jouer, qu’est-ce qui l’oblige à le faire ?
Quand on a exercé le métier d’entraîneur de football, ayant sillonné, durant plus d’une cinquantaine d’années, la Tunisie du Nord au Sud et d’Est en Ouest, on ne peut qu’être le témoin de toute une époque et une mémoire vivante de l’histoire du ballon rond de son pays.
C’est bien le cas de Ahmed Alaya qui a roulé sa bosse dans presque toutes les contrées de la Tunisie pour coacher pas moins de 27 clubs, dont en particulier le Club Africain, l’Olympique de Béja, l’Olympique du Kef, l’OC Kerkennah, l’AS Gabès. Agé aujourd’hui de 81 ans bien sonnés, cet officier militaire à la retraite depuis belle lurette a eu l’amabilité d’être l’invité de notre rubrique pour nous faire part de ses souvenirs et être le narrateur de toute une époque qui a démarré au début des années 60.
Le ministère de la Jeunesse et des Sports a finalement décidé de lancer les travaux de réhabilitation du stade d’El Menzah. Un budget de 22 millions de dinars sera alloué à ces travaux qui devront débuter à la fin de l’année 2019. La moitié de cette somme sera réservée à la réhabilitation des gradins.
Dieu soit loué ! La ministre de la Jeunesse et des Sports semble avoir écouté la voix de la sagesse qui recommandait de s’attacher, en priorité, à remettre à niveau bon nombre d’installations sportives complètement hors du coup et qui, une fois rénovées, pourraient reprendre le rôle qui était le leur.
Après des mois de polémiques et des dernières longues heures de pourparlers, la Confédération africaine de football (CAF) a décidé que la phase finale de la Coupe d’Afrique des nations 2019 n’aura pas lieu au Cameroun. Un choix qui heurte au pays des Lions indomptables et qui soulève moult interrogations, dont une majeure : qui organisera le prochain rendez-vous continental ?
Il y avait foule sur l’esplanade de l’Avenue Habib-Bourguiba en ce premier dimanche du mois de décembre, à l’occasion de la 33e édition du Marathon international de Tunis-Carthage de la Comar. Une foule dont une grande partie a pris le départ pour participer et animer cette grande kermesse sportive, où des parents se trouvaient aux côtés de leurs enfants, et de hauts responsables de l’Etat donnaient l’exemple, soit en portant le dossard de compétition, soit en assistant et en vibrant aux exploits des dames et hommes qui s’étaient mis en piste.
Tellement leur suprématie a été évidente, les «Sang et Or» ont fait l’unanimité et se sont adjugé méritoirement leur troisième titre de l’épreuve.
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