Faouzi Benzarti et son staff accompagnateur sont engagés pour deux «années renouvelables» avec l’équipe nationale. Après quoi l’avenir sera flou et on retombera, de nouveau, dans une énième improvisation!
Pourquoi persiste-t-on à refaire les mêmes erreurs du passé et à s’obstiner à choisir comme méthode de travail l’improvisation et les vieux mauvais réflexes en faisant fi des leçons données par nos bourdes et nos mésaventures?
Pourquoi ne revient-on jamais aux spécialistes et aux chevronnés pour nous guider quant aux réformes à mettre en place pour rectifier le tir et restructurer tel ou tel secteur?
Cette «pathologie» chronique devenue le propre des Tunisiens dans presque tous les domaines est vraiment écœurante. Elle confirme l’adage qui dit qu’il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre!»
Ce qui nous conduit à sortir avec cette amère vérité, c’est la façon ou plutôt le contrat que la Fédération tunisienne de football vient d’imposer à Faouzi Benzarti qui est assorti d’une durée de «deux ans renouvelables».
A quoi peut servir ce genre de restriction ou plutôt ce bail de «short time» qui rappèle certains types de contrats de mariage de courte durée répandus un peu partout dans le monde et où l’esprit de noblesse de la famille est littéralement bafoué.
En effet, si on veut réellement construire une bonne équipe nationale capable d’honorer toute la nation, ne serait-il pas plus judicieux de laisser au staff technique choisi le temps nécessaire pour ce faire : quatre, six ou même dix ans s’il le faut ? Quand est-ce qu’on va comprendre dans ce pays que seul le travail de continuité et de longue haleine est payant et aux résultats positifs certains.
Helmut Schöen (Allemagne), Guy Roux (France), Arsène Wenger pour ne citer que ces quelques exemples sont restés à la tête des équipes qu’ils ont entraînées plus de vingt ans chacun. C’est que les responsables de la «Mannschaft» ou d’Auxerre ou encore d’Arsenal, savent pertinemment que rien ne vaut l’achèvement d’un travail réfléchi fondé sur des méthodes claires pour des objectifs réalistes sans conditions farfelues et harcelantes.
D’autant plus que tout le monde sait que chaque entraîneur national commence toujours son travail en faisant table rase de ce qui a été fait avant lui. Et chacun y va de sa propre méthode de travail au point où les joueurs de l’équipe nationale se perdent dans les approches et les conceptions. C’est d’ailleurs cela qui explique qu’à l’exception de l’équipe de 1978, notre club Tunisie n’a jamais eu un cachet qui le caractérise des autres nations, à l’instar de l’Egypte, du Ghana, du Nigeria ou du Cameroun.
Et puis, qui décide de la durée du bail d’un staff technique désigné à la tête de l’équipe nationale?
A ce propos, la décision se doit logiquement d’être concertée après implication des meilleurs spécialistes parmi lesquels doivent être consultés les anciens joueurs de gloire, les meilleurs techniciens et tous ceux qui ont leur mot à dire la-dessus.
Nul n’a le droit de lier le bail d’un entraîneur à une qualification à tel ou tel tour dans telle ou telle compétition.
Bref, jusqu’à quand allons-nous continuer à ruminer ces pratiques désuètes sans que personne ne s’enthousiasme pour de vraies réformes?
Douze joueurs vont être retenus par Palma pour jouer le tournoi international «Stankovic».
Ce soir à Alexandrie, les « Sang et Or » iront défendre leur titre arabe, remporté il y a un an sur les mêmes terres d’Alexandrie.
Sa reconversion a plus que surpris. Kasraoui doit prouver qu’il mérite son poste.
La Confédération Africaine de football a désigné les arbitres qui officieront les matches de l’Espérance Sportive de Tunis et l’Etoile Sportive du Sahel lors de la 5e journée de la phase des poules en Ligue des Champions.
Les joueurs grévistes ont repris les entraînements, et les dirigeants espèrent renforcer l’effectif avec de nouvelles recrues.
Après une saison ratée à Chelsea, il pourrait rebondir chez les Milanais.
L’ex-Etoilé donnera le plus aux Sfaxiens.
Marwène Garci vient de s’engager en faveur du CSSfaxien pour un contrat de trois ans. C’est le troisième joueur qui quitte l’Etoile du Sahel au cours de l’actuelle intersaison après Bilel Ben Hassine de retour au CSS et Amen Allah Hmissi transféré à l’Espérance de Tunis. Garci, grâce à ses qualités athlétiques et techniques, devra répondre aux exigences de son recrutement. Il a endossé le maillot national durant douze ans.
7 médailles pour la Tunisie.
Les deux marcheurs Hassanine Sebaï et Chahinez Naceri se sont contentés du bronze au 20 km marche dans le cadre de la dernière journée du 21e championnat d’Afrique d’athlétisme organisé au Nigeria.
La star du sprint en retraite attend réaliser son rêve de jouer au football.
Deuxième de sa série du 400 m des Championnats d’Europe en 51’’89 et qualifiée pour les demies, Floria Gueï était soulagée à l’arrivée de sa course.
La Hollandaise Sharon Van Rouwendaal, médaillée d’or sur 10 km en eau libre à Rio, a remporté le 5 km à Glasgow. La Française a fini 8e. Chez les femmes, le 5 km en eau libre a été remporté par l’intouchable hollandaise Sharon Van Rouwendaal en 56’01’’00, loin devant l’Allemande Antonia Beck (56’17’’08) et l’Italienne Rachele Bruni (56’49’’07).
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