En dépit du démenti catégorique de la douane : La citoyenne irakienne persiste et signe

Avoir un statut de militante en matière de droits humains, comme c’est le cas de Mme Awatef Racheed, n’exempte personne de poursuites en cas d’infraction à la loi.

Contrevenir à une loi est une chose, colporter des allégations mensongères en est une autre. Cherchant à faire de l’esbroufe, la citoyenne irakienne Mme Awatef Racheed qui présume avoir été arnaquée lors de son départ  à l’aéroport international de Tunis-Carthage samedi 7 mai en direction de Dubaï, s’échine toujours à défendre l’indéfendable et persévère dans ses  véhémentes diatribes en dépit du démenti catégorique de la douane tunisienne.

En effet, la direction générale de la douane a été bien claire en précisant par le biais de son communiqué que la concernée  a enfreint la réglementation des changes en omettant de déclarer la somme d’argent en devises en sa possession lors de son arrivée à Tunis. Un procès-verbal a été rédigé en bonne et due forme à son encontre, sauf que la citoyenne irakienne se croit au-dessus des lois.

Lors de son départ, elle  a déclaré qu’elle détenait  la somme de 5100$ au moment de son arrivée à Tunis, ce qui explique bien l’infraction. Pourquoi alors ces accusations saugrenues et cette campagne contre la Tunisie, d’autant plus qu’un PV a été rédigé à cette occasion et que, tout compte fait, elle avait un délai de trois mois pour récupérer son argent dans le cadre d’un procès de réconciliation avec la douane ? Avoir un statut de militante en matière de droits humains, comme c’est le cas semble-t-il pour cette dame, ne l’exempte en aucun cas de poursuites en cas d’infraction à la loi.

Suite à une application à la lettre de la loi, la citoyenne en question semble se lancer aujourd’hui dans une regrettable campagne de dénigrement contre le pays et notamment son secteur touristique.

Dans un récent post, elle qualifie l’application de la loi des changes dans notre pays d’escroquerie touristique  et ce au moment où des annonces sont placardées dans diverses parties de l’espace dédié à l’arrivée à l’aéroport international de Carthage concernant les montants en devises à déclarer. 

Les lois doivent être appliquées et non interprétées, ce que semble ignorer cette citoyenne irakienne. 

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