Pourquoi: La chute commence…

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Depuis un certain temps déjà, la presse écrite se débat dans des difficultés financières très contraignantes et a lancé des cris d’alarme, mais, apparemment, n’a pas été entendue. Cependant, ce que l’on craignait le plus est arrivé.  Depuis hier, le journal Al Anwar, après plus de 40 ans, a fermé boutique et a cessé de paraître. A cela, plusieurs raisons. La confection d’un journal revient très cher. A commencer par le matériel de base : papier, encre, etc. sans compter le matériel lourd et qui coûte des centaines de millions et qu’ il faut renouveler après une certaine période. Il ne faut pas oublier également le personnel affecté à cette noble tâche qu’est le journalisme et qui se dévoue et consent de grands sacrifices. Quant aux recettes, il vaut mieux ne pas en parler. Bien triste sera la presse après Al Anwar.

T.B.

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