
A Carthage, une rue a été baptisée du nom du président Béji Caïd-Essebsi, ce qui est une bonne initiative et une reconnaissance de sa contribution à l’édification de la Tunisie. Mais ce qui est étonnant et regrettable, c’est que l’on n’a pas songé à en faire de même à Hammam-Lif, où le cher défunt a passé une grande partie de sa vie. Toutefois, il n’est pas tard pour y remédier.
T.B.