On est généralement peu reconnaissant aux chargés de presse. Pourtant sans eux, le journaliste devrait faire le parcours du combattant pour dénicher les infos ou trouver les personnes ressources. On est quelquefois trop dur avec eux. On tire à boulets rouges sur eux quand on n’arrive pas à les joindre. On oublie souvent qu’ils sont des confrères. Avant tout et tôt ou tard, on se retrouvera du même côté. C’est pourquoi quand l’un d’eux se distingue, on doit faire chapeau bas. C’est le cas de notre collègue à la Snipe-La Presse/Assahfa, Chokri Nafti, attaché de presse du ministère de la Santé. A l’occasion de la Journée mondiale de la liberté de la presse, le Syndicat national des journalistes tunisiens lui a rendu hommage, pour les efforts qu’il entreprend, depuis le début de la pandémie, pour servir ses collègues sans rétention d’informations.
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