Selon les témoignages de quelques adultes, encore en vie, même pendant la Seconde Guerre mondiale, il n’ y a pas eu autant de pénuries qu’ actuellement, c’est peut-être—sûrement même—exagéré, mais le fait est que la pénurie est là, bien palpable.
Il y a bien évidemment le manque de devises qui oblige les autorités à jongler pour essayer de satisfaire les besoins les plus indispensables, mais, surtout, la hargne et la gourmandise des spéculateurs qui ne sont pas rassasiés. Même la vente de café est limitée et il faut faire la queue pour s’en procurer. Et là, c’est un grand marché. Alors que faut-il faire ?
T.B.