La violence est tellement présente, et cela partout, qu’elle en est devenue banale et même «naturelle». Il n’y a plus de dialogue et, pour un oui ou un non, on en vient directement aux mains et dans ce jeu, ce sont toujours les plus forts ou les plus nombreux qui en sortent victorieux.
Mais pas pour longtemps car les plus faibles — les vaincus — cherchent à se venger. Et ainsi cela devient un cercle vicieux. Et ce n’est pas propre à notre pays. Même dans les pays développés, on assiste aux mêmes scènes, ce qui n’est pas une excuse pour persévérer. Des solutions existent pour arrêter ces comportements ou du moins les atténuer. Ce sont les dirigeants et les joueurs qui doivent mieux se comporter et donner l’exemple.