Dans les moments les plus difficiles, la Tunisie a toujours pu trouver les solutions pour sortir des différentes crises qu’elle a connues à travers son histoire trois fois millénaire. Grâce à des hommes d’Etat dévoués, intègres et honnêtes, ce « petit pays », situé à l’extrême nord de l’Afrique, a longuement contribué à l’édification de la civilisation humaine aussi bien par son armée, qui a dominé une grande partie de l’Europe et de l’Afrique, que par sa culture, qui a marqué les deux rives de la Méditerranée, voire l’humanité entière.
La Tunisie indépendante, qui a connu plusieurs présidents, des hommes d’Etat, des bâtisseurs mais malheureusement aussi des corrompus, a enfin fait son choix. Aujourd’hui, le peuple est on ne peut plus déterminé à rompre avec une longue histoire marquée par la dictature, la malversation et la corruption. Le peuple qui vient de dire son dernier mot, à travers les urnes, aspire à des lendemains meilleurs. Et c’est légitime ! Car la Tunisie, après le 6 octobre 2024, a tracé son chemin en toute confiance. Une confiance renouvelée en la personne de Kaïs Saïed en tant que Président de la République capable de baliser la voie à cette Tunisie en quête de stabilité, de sécurité et de prospérité.
De son côté, le Président réélu sait pertinemment qu’il n’a pas de machine politique derrière lui. Et c’est une réalité palpable ! Indépendant, il n’a de comptes à rendre à personne, mieux encore : à ses détracteurs, il donne des leçons avec une modestie déconcertante ! Un Président qui ne reconnaît pas le rôle des partis politiques mais qui remporte la présidentielle haut la main !
Kaïs Saïed a surpris aussi bien les observateurs nationaux qu’étrangers ! Il réussit là où ces derniers sont unanimes sur son échec. Pourtant, sa réussite n’a qu’une seule source transparente : une assise populaire soutenant ses orientations et engagée à concrétiser ses décisions. Cela s’appelle confiance d’un peuple en son président. C’est tout son capital ! Et c’est beaucoup plus précieux que la machine politique la plus rodée. Maintenant ceux qui ne veulent pas comprendre une fois pour toutes que le peuple a dit son dernier mot à travers les urnes, dans le cadre d’élections libres et transparentes, sont appelés à revoir leur copie et à reconnaître la nouvelle méthode de gestion de la chose publique prônée par le Président Kaïs Saïed.
Une nouvelle méthode qui rompt définitivement avec un système politique corrompu nourri essentiellement par des groupuscules politiques dont l’unique objectif est d’arriver au pouvoir, au détriment de la volonté du peuple, de l’intérêt national et de la souveraineté du pays. Ces observateurs de la 25e heures sont quelque part dépassés car ils n’ont pas compris que la politique n’a jamais été une science exacte… Bien au contraire, c’est l’art du possible reposant sur la proximité, l’écoute des préoccupations des citoyens et la réactivité face aux défis. Des notions qui ont toujours primé sur les doctrines politiques et les promesses non tenues. Une question se pose dans ce sens : de quelle manière Kaïs Saïed a pu maintenir la confiance des Tunisiens et garder son image intacte en tant que Président capable de trouver les solutions appropriées pour un pays qui a souffert de décennies de corruption, de malversation et de dictature ? La réponse est on ne peut plus simple : c’est un homme connu et reconnu pour être intègre, honnête et surtout patriote.
La preuve en est, aussitôt élu, le Chef de l’Etat s’est penché sur les grands dossiers qui ont fait couler beaucoup d’encre. Il s’agit notamment des grands projets bloqués à cause d’une bureaucratie excessive. Cela sans oublier les grandes affaires de corruption qui ont touché surtout les biens de l’Etat. Ainsi, des visites inopinées, des conseils des ministres, des consignes tous azimuts pour lutter contre la corruption. Bref, le train des grandes réformes mais aussi de la guerre contre les malfaiteurs est sur les rails. Bon courage !