L’armée israélienne a intensifié ce Samedi ses frappes sur Beyrouth, frappant un immeuble résidentiel en plein cœur de la capitale libanaise. Selon les autorités locales, au moins 11 personnes ont perdu la vie dans ce raid, marquant une nouvelle escalade dans le conflit qui ravage la région. Alors que des appels internationaux pour un cessez-le-feu se multiplient, la guerre au Liban semble loin d’être terminée, plongée dans un cycle de violences incessantes.
Les frappes israéliennes ont visé plusieurs secteurs stratégiques de la ville, provoquant d’énormes dégâts matériels et semant la panique parmi les habitants. Ce raid survient dans un contexte de guerre continue, Israël étant également engagé dans un conflit brutal avec Gaza, son voisin au sud. Là aussi, les bombardements israéliens ne cessent pas, et tôt dans la matinée, trois secteurs de la bande de Gaza ont été touchés par des frappes aériennes et des tirs d’artillerie. Les autorités palestiniennes font état d’au moins 19 morts supplémentaires.
Ces nouvelles attaques renforcent l’impression d’une région totalement en proie à la guerre, avec des souffrances humaines considérables et des destructions massives. Tandis que les dirigeants mondiaux appellent à la paix, la situation semble se détériorer davantage, laissant peu d’espoir de réconciliation dans un avenir proche. Le Liban, déjà fragilisé par des années de tensions politiques et économiques internes, se retrouve au cœur d’un tourbillon de violences géopolitiques, sans solution immédiate en vue.