Le ministre du Commerce et du Développement des Exportations, Samir Abid, a annoncé aujourd’hui, jeudi 13 mars 2025, que des efforts croissants sont déployés pour répondre à la demande de voitures populaires, grâce à la collaboration de toutes les parties prenantes.
Dans une déclaration accordée à Mosaique Fm, Abid a précisé que l’objectif principal de cette initiative est d’ordre social, visant à permettre aux citoyens d’acquérir des véhicules à des prix abordables. Il a souligné que cela s’inscrit dans le cadre de la politique de l’État, qui cherche à faciliter l’accès à la propriété automobile en fonction des moyens financiers des individus.
Le ministre a reconnu que l’approvisionnement du marché en voitures populaires rencontre certaines difficultés, en particulier en raison des défis liés à l’importation et à la distribution. Les facteurs logistiques et économiques influencent de manière significative la disponibilité de ces véhicules en quantité suffisante.
Il a également mentionné que la situation économique mondiale a un impact majeur sur le rythme de l’approvisionnement du marché. Toutefois, il a assuré que le gouvernement s’efforce de répondre à la demande dans la mesure du possible, tout en préservant les équilibres économiques globaux du pays.
Samir Abid a aussi annoncé que des solutions sont en cours de réflexion pour surmonter ces obstacles. Il a exprimé l’espoir que les conditions économiques, tant au niveau national qu’international, s’améliorent, ce qui permettrait de développer davantage ce secteur et de réaliser les objectifs visés.
Montygo
14 mars 2025 à 08:40
On dirait que les retraités sont considérés comme des « moins que rien » car ils sont automatiquement écartés de toutes les possibilités d’accéder au droit de bénéficier d’un prêt CNSS pour l’acquisition d’une voiture populaire.
Pourtant beaucoup d’entre eux, après une vie de travail, aimeraient bien pouvoir se déplacer au moyen d’un véhicule, ne serait-ce que pour pouvoir faire des courses, vaquer à certaines occupations ou tout simplement se balader dans le pays.
Car, franchement, à part le café du coin, le jardin public, la mosquée et s’endormir devant la télé, le troisième âge, ce n’est vraiment pas très folichon.