Le FIP et la présentation de l’ouvrage sonore «L’Affaire du Harlem Shake» de François G.Bussac à l’Agora: Un marathon de lecture

Aujourd’hui, 22 décembre, à 19h00, l’Agora consacre une séance spéciale menée par l’écrivain François G. Bussac alias «Le Capitaine » qui présentera son livre «L’affaire du Harlem Shake » dans sa version audio, et ce, pendant son club de lecture « Au plaisir de lire » qui, chaque quinzaine, attire de plus en plus de férus.

Il s’agit d’une version de ce livre, lue en musique. L’ouvrage déjà illustré et interactif pourra être consommé autrement. C’est bien «Le Capitaine» qui a donné vie à ce récit postrévolutionnaire rocambolesque à souhait, destiné, davantage à un jeune lectorat.

«J’avoue avoir eu bien du plaisir à enregistrer l’intégralité du livre, agrémenté de musique, en particulier pour inciter ceux qui lisent peu ou les malvoyants à savourer cette histoire, et qui, pardelà son aspect «policier», en dit long, mine de rien, sur les ressorts secrets de la société tunisienne», déclare Bussac.

«L’affaire du Harlem Shake» est une intrigue inspirée d’un phénomène social qui a secoué le monde en 2013 : celui de la danse du «Harlem Shake», devenue une forme de protestation y compris en Tunisie. François G-Bussac a tissé une fiction autour de cette danse devenue un mouvement de contestation. Ce livre est un travail mémoriel destiné aux jeunes. «L’affaire du Harlem Shake» est une fantaisie conçue en 2013 et qui se lit et s’écoute désormais d’une seule traite.

Un festival de poésie voit le jour à Bhar Lazreg
Le FIP est le Festival international de poésie, il a vu le jour au B7L9 au Bhar Lazreg. Le programme de cette première édition se développe sur trois journées consécutives, du 19 au 21 décembre, avec plusieurs conférences, lectures, performances et intervenants. L’ouverture s’est déroulée avec un Marché du livre de poésie, suivi de conférences augurales de Jean-Claude Villain. D’une lecture poétique de José Paulo Santos, la Tchèque Petra Kostruhova, Aly Koyta de Mauritanie, Souf Abid et Seymah Salem Romen de la Tunisie.

Le moment fort est sans doute la performance «Cent poèmes pour Lorand Gaspar», tenue par Mokhtar Amraoui, Rafika Ayada, Myriam Garali, Amel Cherif, Jean-Claude Villain, Hatem Bourial, Nefissa Wafa Marzouki, Ahmed Ben Mahmoud et d’autres encore. Des lectures poétiques et une performance «Elégie pour Senghor» ont animé la 2e journée. La dernière journée se clôturera avec une table ronde autour de «L’édition du livre de poésie», d’une lecture poétique d’inédits de JeanClaude Villain, sans oublier la performance «Flammes de femmes» et,bien entendu, d’une dernière lecture poétique destinée à Slaheddine Haddad, présentée par François-George Bussac.

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