IN MEMORY : Abdelmajid SAHLI

A la mémoire d’une mémoire infaillible : mon très cher papa

Abdelmajid SAHLI

«Les êtres chers ne meurent pas quand on les enterre, ils meurent quand on les oublie».

Voilà déjà onze mois et 29 jours depuis que tu m’a quittée à jamais très cher papa laissant derrière toi un grand vide que personne au monde ne pourra combler et des larmes qui ne cesseront de couler … Triste et inoubliable demeurera ce vendredi 14 février 2020. Après toi et sans toi cher papa, c’est le grand  chagrin, l’amertume, le silence et la souffrance… Tes livres pleurent… Mon cœur pleure… Ton départ et celui de ma chère mère ont ébranlé ma vie. Si un père s’en va… tout s’écroulera et s’en va… Si une mère s’en va… Tout s’effondrera et s’en va… Tu me manques tellement cher papa et la douleur lancinante demeure aussi vive et intense que le jour de ton départ à jamais pour un monde meilleur certes. Tu étais la force tranquille qui me consolait des aléas de la vie après le départ de ma très chère mère. Tu as toujours été une source intarissable d’affection paternelle et maternelle. Rien n’est plus comme avant et ne le sera plus jamais. Tu étais toute une mémoire très cher papa, un homme de culture, un journaliste et un prof universitaire distingué pour ses idées nobles et son esprit critique, essentiellement dans le domaine de la munsique, le théâtre et le cinéma. Tu es malheureusement parti sans réaliser ton rêve le plus cher : la publication de tes œuvres. Sache très cher papa que ta fille fera tout pour honorer ta mémoire et sera fidéle à tes principes et convictions.

Tu me disais toujours : «L’important très chère fille ce n’est pas ce que tu as mais ce que tu es». Et je suis fermement convaincue que tu avais parfaitement raison.

Ta fille ne t’oubliera jamais très cher papa: Ton image, ta voix, ta bonté, ta générosité et ta grandeur d’âme demeureront à jamais gravées dans ma mémoire endolorie et mon cœur meurtri par tant de plaies difficiles à cicatriser.

Repose en paix cher papa. Que tous ceux qui t’ont connu et aimé sincérement récitent «La Fatiha» en ta mémoire.

Que Dieu le Tout-puissant t’accorde Son infinie Miséricorde et t’accueille dans Son éternel Paradis.

Ta fille Hayet

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