L’Association de développement durable et de coopération internationale (Addci) ne connaît pas de répit. Sa présidente, Zeineb Mcharek, n’a pas arrêté ses pérégrinations un peu partout pour lier des relations de partenariat et participer à des colloques et des réunions de haut niveau.

Si la majorité des associations n’existent que sur le papier, à Zarzis , rares sont celles qui font parler d’elles, à l’instar de l’«Association le pêcheur», «Zarzis El Habiba», «Association des jeunes ingénieurs zarzissiens» ainsi que «Trait d’union» à Paris. C’est peu par rapport au nombre total des associations censées jouer un rôle et rendre la vie sociale plus commode.

Cependant, parmi ce groupe, on doit reconnaître que l’Association de développement durable et de coopération internationale (Addci) est celle qui ne connaît pas de répit. Sa présidente, Zeineb Mcharek, n’a pas arrêté ses pérégrinations un peu partout pour lier des relations de partenariat et participer à des colloques et des réunions de haut niveau.

Dernièrement, et dans le cadre du projet «Wedig» financé par Oxfam — Tunisie voix, l’Addci a effectué une journée de formation au profit des jeunes et ayant pour thème «l’agression de la femme».

La semaine écoulée, elle a accueilli dans ses locaux le directeur du Programme des Nations unies pour le développement (Pnud) accompagné d’un représentant diplomatique de l’ambassade de Suède en Tunisie. Au cours de leur visite, les hôtes n’ont pas caché leur satisfaction pour tout ce qui a été accompli par cette association (formation des jeunes, octroi de crédits,  projets en cours, encadrement …)

Espérons que les autres associations feront de même pour le bien des jeunes de Zarzis qui ne pensent qu’à la migration clandestine.

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