Plusieurs embarcations ont été interceptées par les garde-côtes et les forces armées au large de Zarzis, Djerba, Gabès, Sfax, Kerkennah, Mahdia, Monastir… D’autres ont coulé, comme c’était le cas, mardi 1er juin pour un bateau, non loin de Zarzis et qui transportait 70 migrants, dont 2 sont morts, 15 portés disparus et les autres sauvés.
Nombreux sont les jeunes qui ont téléphoné dernièrement à leurs parents et leurs proches pour les rassurer en leur annonçant qu’ils sont arrivés à Lampedusa sains et saufs.
Les embarcations de fortune qui les ont transportés ont quitté les côtes du Sud-Est par différents endroits, mais à la même heure, paraît-il, pour plus d’assurance et de sécurité parce que les conditions atmosphériques et les vagues ne sont pas encore clémentes.
Et, au cas où un bateau tombe en panne ou prend de l’eau et fait naufrage, on lui porte secours.
Toujours dans le cadre de la migration clandestine, plusieurs embarcations ont été interceptées par les garde-côtes et les forces armées au large de Zarzis, Djerba, Gabès, Sfax, Kerkennah, Mahdia, Monastir… D’autres ont coulé, comme c’était le cas, mardi 1er juin pour un bateau, non loin de Zarzis et qui transportait 70 migrants, dont 2 sont morts, 15 portés disparus et les autres sauvés .
Certaines tentatives ont été avortées avant leur départ. Les agents de la gendarmerie font des va-et-vient le long de la côte et contrôlent les identités des jeunes qui se baladent, sac au dos.
Tout cela sans compter les nombreux bateaux, en provenance des côtes libyennes avec à leur bord des centaines d’Africains et d’Asiatiques de différentes nationalités et ramenés au port de Zarzis ou de Sfax.
Ainsi, la délégation de Zarzis compte plus que 7.000 migrants des deux sexes et qui s’adonnent aux petits métiers. Il faut signaler aussi que l’Unhcr et le Croissant-Rouge ne les perdent pas de vue. Un centre d’accueil est mis à leur disposition. D’autres dons leur sont fournis indirectement, à travers la commune de Zarzis.
