Le phénomène est en passe de devenir un fléau. On l’a découvert, il y a quelques années avec ce qu’on appelle la “dakhla” du bac sport. À ce moment, les élèves des classes terminales organisaient des démonstrations “festives” et bruyantes. C’est le craquage.
Aujourd’hui, cette manifestation de joie est utilisée à d’autres fins. À l’occasion du déroulement des devoirs, des attroupements d’élèves (manipulés ?) se forment aux abords des lycées et des cris, accompagnés de pétards, commencent à fuser. Les auteurs de ces incidents choisissent bien le temps et le lieu. Leur but est de perturber le déroulement des devoirs. Que de coïncidences !