Qui connaît l’artiste plasticienne Noura M’zoughi trouvera évident qu’elle expose dans une librairie. Une ouverture sur le monde, sur les cultures et les religions, une quiétude attachante, une simplicité perturbante. À Fahrenheit 451, à Carthage Dermech, ses œuvres récentes occupent les cimaises jusqu’à la fin du mois. « Asheqan » au rythme de la musique persane est le titre qu’a choisi l’artiste …