Les dernières précipitations de la fin du mois de septembre qui se sont abattues sur le Kairouanais ont encouragé beaucoup de fellahs à engager les premiers labours dans leurs champs en vue de les emblaver. Malheureusement, pour certains agriculteurs comme Khalifa Gharsallah, céréalier à Sbikha, c’est le fonds qui manque le plus : «Après deux années de vaches maigres, le …