Dans un pays aux banqueroutes multiformes, les cris de détresse sont devenus le pain quotidien de gens malheureux. «Il ne me reste plus rien à faire ici», «Le pays est devenu une grande prison», «Ici, je déprime, ici je suffoque», «Je crains pour l’avenir de mes enfants», bien des voix s’élèvent, ces derniers temps, dans le train, dans le métro, …