«Le plus lourd fardeau est d’exister sans vivre », a dit un jour Victor Hugo. En Tunisie, comme dans d’autres coins de la planète, les deux dernières années ont été un vaste engloutissement de bien de vies humaines. On a existé sans vivre. Sauf que l’adage «Après la pluie le beau temps » a bel et bien sa raison d’être aujourd’hui. Cette année, …