L’imagination, dit un philosophe, est la «folle du logis». Or comment concevoir une expérience du beau en dehors et indépendamment de la puissance de l’imagination ? Voilà qui semble condamner à mettre un fossé infranchissable entre le beau et la science. En même temps, si on entend laisser le monde être sauvé par le beau, se peut-il que la science …