Voici un beau livre qui sort, constellé de lumineuses images tant picturales que textuelles, de la joyeuse «Lucarne des Ecrivains» et où l’art consommé de l’étonnant Marjan entre en résonance avec la poésie des mots simples de Patrick Navaï. Une poésie comme «aquatique» qui coule, s’écoule, dépouillée, allégée, parce que la métaphorisation y fonctionne à un régime volontairement modéré, …