Depuis 2012, chaque loi de finances s’est accompagnée d’un même refrain : la Tunisie doit engager des «réformes douloureuses». Mais derrière cette formule figée se cachait une réalité bien plus complexe. Et si le vrai problème n’était pas un excès de dépenses, mais un manque de gouvernance ? Poser la bonne question, c’est déjà faire un pas vers une réforme …