Dans les années 1960, le Tout-Bizerte ne jurait que par son nom. Alors que le CAB n’avait pas encore atteint la dimension qu’il allait prendre deux décennies plus tard, Driss Haddad faisait vibrer les puristes, rejoignant la sélection nationale où il faisait de la concurrence à l’intouchable Abdelmajid Chetali. Reconverti entraîneur, il livre une analyse lucide sur les maux du football …