Des fonds ont été alloués à la rénovation de cet établissement, mais les travaux sont toujours à l’arrêt, a-t-il constaté. Les services publics ne répondent pas au minimum requis, regrette encore le Chef de l’Etat. En Tunisie, celui qui n’a pas d’argent meurt, a-t-il ajouté, estimant que la Tunisie a besoin d’une révolution législative. Le Président de la République, …