Le bien-fondé, la droiture et la conformité sont aujourd’hui l’otage de ceux qui se revendiquent en tant que défenseurs des droits de l’homme. Dans le sillage de réflexions précipitées et de positions dénaturées, et sur fond d’ingérence déclarée, ils versent dans l’excès. Pis encore, le risque d’être perçu comme défaillant ne semble plus secouer les consciences. D’anciens diplomates américains exhortent, …