Ce statu quo où tout le monde est sur le qui-vive, en attendant le faux pas de l’autre. La réponse est on ne peut plus claire, cette situation ne profite à personne. Ni à Kaïs Saïed, ni à l’opposition, gangrénée par la corruption et prise en otage par une élite anachronique, ni même à la population anesthésiée qui se …