Le constat est alarmant. La Tunisie connaît l’une des pires années de déficit pluviométrique, ce qui a entraîné l’endommagement d’une bonne partie de la superficie céréalière. Selon l’Utap, « le manque de pluie n’a pas aidé à terminer la germination des céréales, la plupart des zones étant touchées et s’étendent sur quelque 800 000 hectares ». L’impact de la sécheresse se fait de …