Dans le foisonnement intense des associations nées au lendemain de la révolution, en Tunisie, il est extrêmement difficile de distinguer le bon grain de l’ivraie. Déceler celles qui font un travail utile, pertinent, ne répondent à aucun dessein caché, ne sont pas là pour l’esbroufe et le show off et se concentrent sur un domaine précis, nécessitant une aide ciblée, …