Malgré tous les efforts d’Abu Zraiq, Bougrine et d’Iwuala, l’attaque espérantiste était incapable de percer la défense sfaxienne. Un air de déjà-vu. C’est qu’à chaque fois qu’elle fait face à un adversaire refusant le jeu, l’attaque espérantiste peine à s’exprimer. Faute de but marqué dans les filets sfaxiens, l’Espérance n’a pas pu dépasser le premier tour. Or, il fallait …