L’organe juridictionnel de deuxième instance semble se dérober et vouloir gagner du temps avant de prendre une décision qui sera lourde de conséquences. Le temps, c’est de l’argent. Il est déplorable que même au niveau de la Commission nationale d’appel, on n’en est pas assez conscient. Le Bureau fédéral a pris l’engagement de rester les bras croisés et de ne décider …