Au-delà du fait divers sur lequel tranchera sans doute la justice tunisienne, présomption d’innocence oblige, il est légitime de s’interroger sur les mécanismes qui existent, dans nos institutions, pour que les victimes puissent dénoncer les agressions de manière anonyme et puissent être protégées pendant la durée de l’enquête. Les faits divers liés à des agressions sexuelles contre des mineures, nous …