Il y a une certaine réticence sous réserve que telle ou telle information pourrait porter atteinte à la présumée « sécurité nationale ». Un terme flou qui ne justifie nullement les manœuvres dilatoires auxquelles a recours l’administration. Droit d’accès à l’information, dites-vous ! La loi l’organisant, bien qu’adoptée il y a cinq ans, pose toujours problème. Jusque-là, le journaliste, premier concerné, n’y trouve …