15,8%
Les revenus du travail cumulés ont évolué de 15,8%, par comparaison avec la même période de 2021, atteignant les 3,1 milliards de dinars selon Banque centrale de Tunisie.
27,8%
Le total des transactions interbancaires a évolué de 27,8%, à près de 2 milliards de dinars, à la date du 17 juin courant. Idem pour le volume global du refinancement qui a connu une hausse de 37,6%, à 11,1 milliards de dinars, à la même date.
236
Les quantités de céréales collectées dans le gouvernorat de Bizerte au cours des dix premiers jours de la moisson se sont élevées à plus de 236.000 quintaux. Les centres de collecte des céréales ont stocké des quantités variant entre 500 et 3.000 quintaux, par jour, jusqu’à la date du 18 juin courant. Les quantités évacuées ont dépassé les 27 mille quintaux durant la même période, assure le commissaire régional au développement agricole de Bizerte.
35%
D’après le président de l’Organisation tunisienne d’orientation du consommateur, la marge arrière appliquée par les grandes surfaces entraîne une hausse de prix de 35% en Tunisie. La marge arrière permet aux hypermarchés d’obtenir de la part des fournisseurs une réduction du prix du produit qui varie entre 35% et 40%. Cependant, cette réduction ne profite pas au consommateur.
15
La Tunisie envisage de conserver et réhabiliter 15 mille hectares de terres agricoles exploitées, d’ici à 2024, dans le cadre du projet « ProSol », une initiative soutenue par l’Allemagne et qui fait l’objet d’une 2e campagne de sensibilisation. Le projet prévoit également d’augmenter le rendement de ces terres de 25% et d’impliquer 19% de femmes dans les actions de réhabilitation et de restauration.
24,2
Les avoirs nets en devises qui se sont élevés à 24,2 milliards de dinars, le 10 juin 2022, contre 21,3 milliards de dinars, à la même date de l’année précédente.
70%
Les grandes surfaces réalisent une marge bénéficiaire de 70% (marge arrière et marge avant), grâce à des lois établies sur mesure. Selon le président de l’Association tunisienne de défense et de sauvegarde de l’entreprise, les lois actuelles permettent aux hypermarchés de contrôler les prix grâce à l’hégémonie qu’ils exercent sur les circuits de distribution. D’après lui, il est nécessaire d’activer le rôle du conseil de la concurrence et de le doter du pouvoir de décision.
