Pendant les vacances de l’Aïd El Fitr, au niveau de l’autoroute Tunis-Sfax, des piétons (des dizaines !) traversent l’autoroute sans crainte de la dangerosité et du risque de ces pratiques insolites pour eux et pour les conducteurs.
La question qui se pose : comment l’Etat pourrait-il réagir pour dissuader ces pratiques dangereuses ? Cela dépasse un simple spot publicitaire ou une déclaration sur les ondes d’une radio. Le nombre des accidents de la route est devenu si inquiétant que l’Etat devrait frapper d’une main de fer celui ou celle qui commet cette pratique suicidaire. Dans cet ordre d’idées, les autorités pourraient infliger des amendes très élevées aux piétons ou à leurs familles, en cas de décès du piéton, et ces fautifs devraient être passibles de peines de prison ferme, car il est important de souligner que ces personnes sont responsables de leur propre sécurité et qu’ils doivent respecter les règles de la sécurité routière. Et il serait absurde et chimérique de mettre un agent de sécurité tous les cent mètres le long d’une autoroute afin d’éviter ces pratiques dangereuses et sensibiliser chaque fautif des dangers de traverser une autoroute et donner à chacun une leçon sur le code de la route !