« La Banque mondiale entretient une collaboration solide et de longue date avec la Tunisie. Cette nouvelle stratégie fixe le cadre sur lequel la BM et la Tunisie pourront intensifier des programmes de nature à libérer le potentiel économique du pays et promouvoir un avenir meilleur pour ses habitants », souligne Ferid Belhaj vice-président de la Banque mondiale pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord.
Le Groupe de la Banque mondiale a annoncé aujourd’hui le lancement d’un nouveau Cadre de partenariat-pays (CPF) avec la Tunisie, d’une durée de cinq ans, qui vient appuyer le plan de développement du gouvernement en faveur d’une expansion économique qui profite à tous, crée des emplois de qualité et renforce la résilience aux changements climatiques. Soumise à l’examen du Conseil des administrateurs du Groupe de la Banque mondiale, cette stratégie fournit des orientations qui permettront à l’institution de continuer à jouer son rôle de partenaire de long terme auprès du pays et de sa population.
« La Banque mondiale entretient une collaboration solide et de longue date avec la Tunisie », souligne Ferid Belhaj, vice-président de la Banque mondiale pour le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord. « Cette nouvelle stratégie fixe le cadre sur lequel la Banque mondiale et la Tunisie pourront intensifier des programmes de nature à libérer le potentiel économique du pays et promouvoir un avenir meilleur pour ses habitants. » Et d’ajouter : « La Tunisie a été durement touchée par les multiples crises mondiales, mais elle a fait preuve de résilience. »
Le nouveau CPF, qui s’appuie sur le plan de développement 2023 2025 de la Tunisie et sa Vision 2035, a été conçu sur la base du diagnostic pays systématique (SCD) réalisé par la Banque mondiale, ainsi que sur son prochain rapport national sur le climat et le développement.
« Le Cadre de partenariat entre la Tunisie et le Groupe de la Banque mondiale pour la période 2023 27 est une étape importante dans nos efforts de coopération destinés à favoriser une croissance inclusive et durable », indique le ministre Tunisien de l’Économie et de la Planification, Samir Saied. « Grâce à ce partenariat, nous aspirons à faire progresser la protection sociale, l’éducation, la santé, et l’amélioration du climat des affaires afin de stimuler l’innovation, ainsi que la croissance verte tout en réduisant les disparités régionales et en favorisant l’inclusion sociale. »
Le CPF vise trois résultats principaux : la création d’emplois de qualité par le secteur privé, le renforcement du capital humain et l’amélioration de la résilience au changement climatique et la réduction des émissions de carbone. Il s’attache en outre à intégrer dex thèmes transversaux dans l’ensemble des programmes : la question du genre et de l’égalité des sexes, d’une part, et, d’autre part, l’enjeu de la responsabilité, de la participation et de la confiance. Le Cadre de partenariat met également l’accent sur la migration comme source d’opportunités pour le pays.
« Dans la continuité des consultations approfondies menées avec le gouvernement, le secteur privé, la société civile et les partenaires de développement, le CPF témoigne de notre engagement en faveur de la croissance inclusive et durable de la Tunisie », affirme Alexandre Arrobbio, chef pays de la Banque mondiale pour la Tunisie. « Si le CPF soutient l’obtention de résultats principaux durables à moyen terme, il répond également à des priorités à court terme, notamment le soutien direct aux familles les plus durement touchées par les crises, l’accès des petites et moyennes entreprises au financement, et la production d’énergie renouvelable. »
Le CPF sera mis en œuvre conjointement par la Banque mondiale, la Société financière internationale (IFC) et l’Agence multilatérale de garantie des investissements (MIGA), avec une enveloppe annuelle sur cinq ans d’environ 400 à 500 millions de dollars, auxquels s’ajouteront des investissements d’IFC et des garanties de la MIGA.
« Notre objectif est de renforcer la résilience et la compétitivité du secteur privé afin de créer des emplois, d’offrir des opportunités d’investissement et de soutenir les réformes du gouvernement tunisien visant à améliorer le climat des affaires. », précise Cheick-Oumar Sylla, directeur régional d’IFC pour l’Afrique du Nord et la Corne de l’Afrique.
Comme pour tous les partenariats du Groupe de la Banque mondiale, le respect des exigences environnementales et sociales de l’institution restera au cœur de la mise en œuvre du CPF avec la Tunisie.
Le lancement du CPF fera l’objet d’un évènement qui permettra de mettre en lumière son contenu et ses priorités immédiates, mais aussi d’engager une discussion autour du Rapport sur le développement dans le monde 2023 de la Banque mondiale, intitulé « Migrants, Réfugiés et Sociétés. »
Dr. E. Moudoud
15 juin 2023 à 20:04
À LA BONHEUR…MAIS MÉFIONS-NOUS DU ‘BARRATIN’ HABITUEL DE LA BM ET SES ‘BUZZ WORDS’ …ON RÈGLE LES PROBLÈMES AVEC LE IMF D’ABORD…APRÉS ON VERRA…INITIATIVE DE RÉFORMES SECTORIELLES PAR INITIATIVE…PROGRAMME PAR PROGRAMME…PROJET PAR PROJET…SINON ON SERA ‘ROULÉ DANS LA FARINE’…ET COMME TOUJOURS…ON ‘REPROCHERA’ APRÉS À NOS CADRES, PARMI LES MEILLEURS DU MONDE COMME FÉRID…, LES ‘ÉCHECS SCANDALEUX DE LA BM DANS LES RÉGIONS MENA ET L’AFRIQUE SUB-SAHARIENNE DEPUIS 30-35 ANS ET LE DÉPART DE BOB MACNAMARA. DONC À LA ‘BONHEUR’ …MAIS SOYONS PRUDENTS! VIVE LA TUNISIE. VIVE LA RÉPUBLIQUE. VIVE KAIS SAIED. BOURGUIBA NE MOURRA JAMAIS…JAMAIS