La chanteuse Latifa Arfaoui se produira vendredi prochain, à partir de 22h00, au Théâtre romain de Carthage.
« Je ne refuse aucune invitation à me produire en Tunisie et il m’arrive de tout annuler pour répondre à l’appel de mon pays. C’est avec ces mots que Latifa Arfaoui a décrit les sentiments intenses d’appartenance à sa terre natale lors de la conférence de presse organisée lundi 15 juillet par la 55e édition du Festival international de Carthage à l’occasion de son spectacle programmé pour le vendredi 19 juillet au Théâtre romain de Carthage.
Au cours de cette conférence de presse à laquelle plusieurs représentants des médias tunisiens et arabes ont pris part, Latifa Arfaoui a répondu à toutes les questions qui lui ont été posées, dont certaines étaient en rapport avec sa vie personnelle. Chaleureuse comme toujours, Latifa a longuement parlé de cette soirée qu’elle a décrite comme exceptionnelle, soulignant à cet égard qu’elle va chanter des chansons de son ancien répertoire, mais aussi plusieurs autres de ses nouveaux albums, tout en déclarant qu’elle réserve deux grandes surprises à son public adoré.
Latifa Arfaoui s’est réjouie des interventions des journalistes présents qui lui ont même suggéré de chanter au cours de cette soirée ses premières chansons qui ont fait sa notoriété, des suggestions qu’elle a promis d’ajouter au programme de sa soirée.
Latifa Arfaoui sera accompagnée par l’Orchestre national de musique sous la direction du maestro Mohamed Lassoued qui était présent à cette conférence.
La chanteuse a réitéré à cette occasion sa détermination à assurer une soirée d’exception, en offrant à son public des titres issus de ses quatre albums produits durant les neuf dernières années en précisant qu’elle ne privera pas ses fidèles de ses anciens tubes, dont « Hobbek Hadi », « Baheb Fi Gharamek »…
En réponse à une question se rapportant à sa consécration au Biaf dans sa 10e édition, Latifa Arfaoui a fait savoir qu’elle doit beaucoup au Liban et aux journalistes libanais qui l’adorent et la considèrent comme la fille gâtée du Liban, tout en offrant ce prestigieux prix au public de Carthage.