Une voix de velours, enivrante, rauque et douce à souhait, des sonorités à la mélancolie paisible pour guider un public conquis à travers les différents titres de son album «Amir». Un mélange entre Orient et Occident qui le hisse déjà dans la cour des grands.
Akacia Productions s’est associée à Pulp Ground pour programmer pour le 10e chapitre de sa tournée de concerts baptisé «Tunes», l’exceptionnel Tamino: un jeune prodige à la voix envoûtante, considéré comme la nouvelle figure de proue de la pop indé rock.
Le concert abrité par le Carpe Diem à Tunis, le 5 octobre dernier, a drainé fans, mélomanes et autres curieux qui, sans aucun doute, se sont régalés avec la voix hypnotisante et l’univers vaporeux et aérien de cet auteur et interprète belgo-égyptien. Bien avant la montée sur scène de Tamino, Maroua Jaziri, aux platines, a assuré le début de la soirée, le finish fut confié à Hazem Berrabah.
Une voix de velours, enivrante, rauque et douce à souhait, des sonorités à la mélancolie paisible pour guider un public conquis à travers les différents titres de son album «Amir». Un mélange entre Orient et Occident qui le hisse déjà dans la cour des grands. Fermez les yeux et vous aurez l’impression qu’à sa voix l’on a greffé des bouts de Jeff Buckley et de Leonard Cohen. Suave et enchanteresse, sa voix et l’ambiance qu’il propose ont le pouvoir d’apaiser corps et esprits.
Tamino–Amir Moharam Fouad est né dans une famille de musiciens ; une mère et un père chanteur, un grand-père, Moharam Fouad, personnalité égyptienne de la musique et du cinéma.
Son nom de scène est celui du prince oriental dont Mozart fait le héros de la Flûte enchantée – un musicien magicien symbolisé par le feu.
Ce jeune flamand fasciné par Tom Waits ou Serge Gainsbourg, impacté par les sortilèges de Radiohead ou Jeff Buckley, est, sans conteste, une des révélations de la nouvelle scène internationale.
Des événements comme on les aime avec une organisation de qualité. Bonne continuation en attendant le prochain concert.