Dr Slim Meherzi, élu maire de la ville de La Marsa en juillet 2018, vient de passer la main mais décide de ne pas quitter le navire en raison de son engagement à l’égard des citoyens de cette commune.
« Ma démission est un cri d’alarme », nous confie-t-il dans cet entretien où il évoque notamment l’imbroglio de la police municipale et le « syndrome du téléphone » en Tunisie qui arrête l’exécution des décisions.
Ne manquez pas l’intégralité de l’interview demain, 01 novembre 2019, sur notre journal La Presse.