Le cri d’alarme est lancé à cause des chiffres recensés pour l’année 2018. Ils sont 1500 cas contaminés par cette maladie parasitaire dont 650 cas dans la délégation de Metlaoui.
Selon une source des services des soins et santé de base, la saison de l’automne constitue la période propice pour le développement de cette infection cutanée.
Les signes cliniques persistent de 3 à 6 mois alors que même après la guérison, des séquelles indélébiles demeurent. Des 3 types de leishmaniose découvertes, celle dermique est la plus répandue.
Un environnement pollué, des flaques d’eau stagnantes et des tas de déchets de phosphates jetés dans les oueds, autant de milieux favorables à l’éclosion du parasite causal. Dans le monde, les chiffres de L’OMS laissent dégager 7 millions de cas dépistés.
Liberte
4 décembre 2019 à 12:19
Le principal cas c’est le phosphate, une protection plus adaptée peut limiter les dégâts, aujourd’hui pour une tonne de phosphate il faut pratique plus de 10000 litres d’eau pour la traiter, sans oublier la radioactivité que cause ce dernier.