
Quatre mille (4000) opérateurs économiques de 20 pays subsahariens ainsi que des représentants d’une cinquantaine d’institutions internationales sont attendus à Tunis, les 4 et 5 février 2020, pour participer à la 3e conférence internationale sur le financement de l’Investissement et le commerce en Afrique (FITA2020) ou « Financing Investment & Trade in Africa ».
Organisée à l’initiative du Conseil d’affaires tuniso-africain « Tunisia-Africa Business Council (TABC) », cette rencontre vise à créer un environnement propice aux échanges et un cadre de proximité favorisant un dialogue productif entre décideurs et acteurs clés des secteurs publics et privés.
Elle réunira, à cet effet, des investisseurs internationaux, des représentants d’institutions financières internationales ainsi que des responsables d’institutions de promotion de l’investissement et prévoit près de 2000 rencontres de networking.
D’après le TABC, il s’agit aussi, d’une opportunité pour continuer à faire entendre la voix du secteur privé sur les thématiques de l’accompagnement financier en Afrique, les grands thèmes structurants pour les économies africaines, et la mise en œuvre de la zone de libre-échange continentale (ZLECAF).
L’accent sera mis, également, sur l’environnement des affaires, les stratégies de développement sectoriel, la transformation locale et l’industrialisation, ainsi que sur les moyens favorisant l’amélioration de la compétitivité.
« FITA 2020 constituera aussi l’évènement phare pour mettre en relation les entreprises Tunisiennes avec les bailleurs de fonds panafricains et internationaux pour se financer et accélérer leur croissance sur le continent « , estime le TABC.
La conférence permettra, en outre, d’identifier de nouvelles opportunités d’affaires avec de futurs et actuels partenaires et apprendre à orienter ? La stratégie d’entreprise en fonction des tendances économiques actuelles
Plusieurs thématiques seront abordées, durant les deux jours de la conférence. Il s’agit, notamment, du « rôle des Assurances dans le développement du commerce interafricain », « l’impact de la transition numérique sur l’économie Africaine », « CEDEAO-COMESA : échanges avec la Tunisie et retour d’expériences » et « Intégration économique et rôle de la ZLECAF ».
Liberte
16 janvier 2020 à 18:52
C’est une très bonne initiative pour le développement économique du pays, moi personnellement je me méfie beaucoup pour cause la corruption et des tracasseries administrative, j’ai essayé il y a trois ans de créer une entreprise de communication et le gouverneur du la délégation pour appuyer ma démarche m’a demandé près de 50000 dinars sans que mon dossier soit accepté au plus haut par le ministère concerné, alors j’ai repris l’avion et je suis allé allé l’installer au Maroc avec plus de 70 emplois à la base.