ils ont dit: Samir Majoul président de l’Utica

«Le financement est la problématique récurrente chez les entreprises tunisiennes particulièrement les micro-entreprises et les PME qui constituent le principal vivier de création d’emplois et représentent une majorité dans le tissu économique national. L’absence des fonds nécessaires à la réalisation des investissements et l’accès difficile aux crédits bancaires ont poussé certains grands groupes à ajourner ou à annuler leurs projets d’investissement. Je lance un appel aux autorités financières pour réformer le code des changes car nous avons besoin d’une monnaie qui nous connecte au reste du monde et non une monnaie qui nous isole. Nous pensons que le non-convertible a fait son temps. Il faut passer maintenant à la convertibilité du dinar afin de pouvoir saisir les opportunités offertes par l’économie mondiale».

S.B

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