Même si la situation n’est guère inquiétante (un seul cas guéri), l’élan de solidarité qui marque cette lutte contre un adversaire invisible mérite qu’on s’y arrête pour saluer les efforts de la société civile qui ont prouvés que c’est dans la guerre qu’on se resserre les rangs.
À Gafsa, les exemples apportent du baume au cœur tel qu’il nous a relaté par Wael Belgacem, un activiste de la société civile. Et pour preuve, deux (02) immeubles sont mis à disposition de la direction régionale de la santé publique avec une capacité d’accueil de 39 chambres individuelles équipées avec toutes les commodités dont les clés ont étaient remis aux autorités sanitaires de la région.
Des appareils de stérilisation des services de l’hôpital qui ont mobilisés une enveloppe de 14500 dinars ont été pris en charge par un citoyen gardé sous anonymat.
Un restaurateur a décidé d’offrir à partir du jeudi 26 mars, les dîners de tous les agents-veilleurs de l’hôpital régional de Gafsa, et ce jusqu’à la fin de la période du confinement.
( * Le directeur régional de la santé accompagné d’un médecin membre de la cellule de crise prenant possession des clés.)
Liberte
25 mars 2020 à 11:36
C’est mieux qu’un pèlerinage à la Mecque, c’est un geste honorable et précieux que chacun d’entre doit s’inspirer, alors faites le et n’attez pas que ça se soit trop tard faites le directement sans passer par l’état.