Mettre les chamailleries de côté … serrer les rangs pour passer l’écueil sont une obligation pour les Cabistes.
La situation est complexe, on le reconnaît. En effet, sur le plan sportif, le CAB était totalement hors-sujet lors de la phase aller, et a mal entamé la seconde partie du championnat, ce qui lui a valu, jusqu’ici, une bien triste avant- dernière place au classement général. Quant au côté matériel, il est endetté jusqu’au cou ! Et au lieu de serrer les rangs pour redresser la barre et mettre le club sur les rails , on n’a pas trouvé mieux que de se chamailler en haut de la sphère dirigeante . Un comportement de novices, de bleus quoi ! Et pourtant, ces dirigeants que sont Saidani et Yaacoub ont été encadrés et soutenus par d’anciens responsables sportifs à l’expérience reconnue. Rien n’y a fait ! Chacun campe sur sa position, du moins jusqu’à nouvel ordre. Seulement le temps est précieux et faire durer la crise ne sert pas les intérêts du CAB. Il est urgent d’agir afin d’éviter le pire. Dans l’état actuel des choses, le salut ne pourra venir que des autorités régionales pour régler le problème. Elles auront, dans un premier temps, pour rôle de jouer les » bons offices » et en cas d’un nouvel échec, il faudrait s’impliquer carrément en choisissant un président susceptible de prendre le relais et lui offrir bien évidemment un minimum de bonnes conditions pour sauver ce qui peut l’être. La tâche est très difficile, nous en convenons ! Tout le monde est dans le pétrin à cause de ce maudit virus, mais on peut toujours puiser dans les réserves et compter sur les bonnes volontés. Rien ne pourra se faire sans sacrifices ! Toutefois, la question reste de savoir combien de personnalités ou personnes morales apporteront une contribution conséquente. On a le droit de rêver, non ?!