Le 18 mai dernier, plus de 500 personnes issues de près de 30 différents Pays ont participé un Webinar de présentation de la conférence Print4All Conference – Future Factory qui se tiendra le 24 juin prochain.
Ce webinar, organisé par l’Association ACIMGA (Association des constructeurs italiens de machines pour l’industrie graphique) en collaboration avec l’ICE–Agence italienne pour le Commerce Extérieur, a levé le voile sur un programme riche et dense de sujets qui seront largement débattus en juin, relatifs aux défis de la durabilité du secteur de l’édition, de l’impression, du packaging, de l’emballage et de l’industrie 4.0.
L’initiation de ce Webinar qui a été assurée par le journaliste Matteo Bordone, a été suivie par l’intervention d’Andrea Briganti Directeur général d’Acimga et de la « Federazione Carta e Grafica ». Ce dernier, a mis en exergue la caractéristique de cet important événement, à savoir celle de réunir le monde de l’imprimerie, de la transformation et l’emballage, des fabricants de technologies ainsi que des propriétaires de marques, pour scruter ensemble l’avenir de l’industrie et les défis à relever à travers l’utilisation de nouvelles technologies.
De son côté, le directeur général d’Argi, Enrico Barboglio, a fait savoir que le Covid-19 a été à l’origine de l’évaluation de l’importance du travail à distance, tout comme l’Internet pour le développement de l’industrie de l’imprimerie.
Alice Bodreau, Global Partners Manager au sein de « Ellen MacArthur Foundation », a passé en revue certaines des étapes passées de l’économie linéaire à l’économie circulaire. Enfin, Fabrizio Renzi, président et chef de la direction Mbgate rnb4culture, Angel, qui est aussi partenaire IBM et expert en intelligence artificielle, a cité certaines réflexions pour renouveler le processus de façon « révolutionnaire » dans le monde de l’impression et de l’emballage.
Comme cité plus haut, tous ces arguments seront approfondis le 24 juin à travers les interventions d’imminents experts sur des thèmes aussi bien innovants que révolutionnaires dans l’industrie de l’édition et de l’impression.
Parmi ces figures, on confirme la participation de Nigel Tapper, l’un des plus grands experts en matière de changement climatique et membre du GIEC – Groupe d’experts intergouvernemental, qui aura l’occasion d’évoquer les moyens permettant une meilleure adaptation du secteur afin d’atténuer davantage les impacts du changement climatique.
D’autres intervenants seront présents à ce rendez-vous, on cite parmi eux, le prix Nobel de la Paix en 2007; Enzo Baglieri, professeur de «gestion technologique, d’innovation et Opérations» à l’Université Bocconi; Marco Roveda, fondateur de LifeGate et l’un des précurseurs de la production biologique en Italie avec «Fattoria Scaldasole»; Ulrich Leberle, directeur du CEPI, qui est la Confédération des industries européennes du papier et Massimo Medugno, directeur général d’Assocarta et enfin des représentants des plus grandes associations des structures professionnelles du secteur, telles que PICON (Royaume-Uni), IPAMA (Inde) et ApTech (États-Unis).
Enfin, le programme de la conférence comportera aussi des tables rondes pour un échange d’expériences des différents acteurs de la chaîne d’approvisionnement du papier.
Matteo Bordone, journaliste et animateur à Radio2, sera le principal modérateur de ces rencontres.
«La forte participation au webinar de présentation confirme que Print4All Conference est un rendez-vous incontournable dans l’agenda de l’industrie graphique», comme le fait remarquer le directeur général d’Acimga et de la Federazione Carta e Grafica, Andrea Briganti.
« Notre initiative englobe toutes les technologies de l’édition et de l’impression et ne vise pas seulement un segment industriel spécifique, mais couvre l’ensemble de la chaîne d’approvisionnement italienne et internationale, en veillant à ce qu’on réfléchisse ensemble sur ce qui nous attend dans un proche avenir. Dans ce contexte, l’événement du 24 juin sera sans doute une occasion de réflexion sur les défis de l’industrie 4.0 et de la durabilité du secteur. », a-t-il conclu.