On fait du surplace, mais l’espoir est permis…
Le CAB est en train de marquer des points au compteur, mais il n’avance pratiquement pas au classement. Certes, il a quitté la place de lanterne rouge pour accéder au 13e rang, mais il demeure toujours menacé par la relégation.
Faire match nul en permanence n’est pas la meilleure façon de se mettre à l’abri d’une mauvaise surprise en fin de parcours. Il faut impérativement passer la vitesse supérieure à partir de ce week-end contre le CA au Bsiri.
Il n’est plus question de laisser filer des points particulièrement à domicile. Les Cabistes ont présenté à chaque rencontre, depuis la reprise de la compétition, un volume de jeu intéressant, ce qui laisse les supporters «jaune et noir» espérer les voir exprimer ces progrès par des victoires qui leur ont fait défaut jusqu’ici.
Et pourtant ils n’étaient pas loin de gagner contre l’USBG, le CSS, l’ESS ou encore le ST, la chance n’ayant pas été de leur côté ! Il n’est plus utile pour eux de ruminer ces déceptions, il faut regarder devant, c’est-à-dire préparer comme il se doit les journées à venir.
Il en reste six et à chaque fois, il s’agira d’un match de coupe. Cinq équipes se trouvent dans un mouchoir de poche et le moindre faux pas pourra s’avérer fatal quand on fera les comptes à l’issue de l’exercice.
En l’attente de l’effet Yaakoubi
Tout le monde au CAB sait que la situation est des plus délicates, mais personne n’a baissé les bras.
Au contraire, on s’efforce de faire du mieux possible à garder les joueurs concentrés sur leur sujet en leur offrant les meilleures conditions de travail. Il va de soi que, dans un tel contexte, une préparation psychologique adéquate constitue un atout non négligeable.
Et de ce côté-là, on peut faire confiance à Kaïs Yâacoubi qui saura leur souffler les mots justes !
