A la mémoire de notre cher, regretté et bien-aimé
Sadok ben Ghorbal
le 26 octobre, un jour très difficile à nous tous.
Quatre ans déjà que tu nous a quittés pour un monde meilleur inchallah. c’est comme si c’était hier.
il y a une citation de Victor Hugor qui dit
«Tu n’es plus là où tu étais, mais tu es partout là où je suis.» C’est tellement vrai.
Tu me manques Papa… J’avais besoin de ton soutien pendant les épreuves très difficiles qu’on a vécues. J’aurais aussi aimé partager les moments de joie avec toi lors de la naissance de ma fille Hiba.
Papati tu étais bon et le meilleur des hommes, un homme de valeur, un homme qui ne faisait qu’égayer notre vie par sa générosité, son savoir-vivre, sa joie de vivre, sa beauté intérieure, son sourire permanent, sa bonne humeur, ses discussions qui meublaient nos soirées et sa tendresse. C’était Papa mon héros, ma joie de vie. j’ai tellement besoin de toi, de te serrer, de te parler, de me jeter dans tes bras, d’entendre tes petites histoires du bon vieux temps de Djerba, de tes experiences….
Papa je t’aime. la mort ne tue pas l’amour que nous avons tous pour toi, bien au contraire. Tu continues toujours à exister au fond de mon cœur. Que dieu le tout-puissant te bénisse et que ton âme pure reste en paix dans la sérénité pour l’éternité.
Inchallah votre ultime demeure sera le Paradis.
Papa je t’aime.
Papati tu me manques !
Ta fille Ines Ben Ghorbal épouse Sehili
Ta veuve Fathia Ben Ghorbal
