8,6
Les importations textiles de l’UE ont atteint, au premier trimestre 2021, une valeur de 8,6 milliards d’euros, soit une hausse de 10,1% par rapport au 1er trimestre 2020. Les fournisseurs textiles méditerranéens (autres que la Turquie) occupent une place modeste dans la compétition sur le marché européen, l’Egypte est 12e fournisseur, la Tunisie est 13e et le Maroc est 18e. Ces fournisseurs accusent tous des baisses de leurs exportations vers l’Europe à l’exception de la Tunisie, qui progresse de 16%, et ce, grâce notamment à la vente significative de masques.
-9 %
La baisse du PIB a atteint -9 % pour la première fois depuis 1962, selon Marouan El Abbassi, gouverneur de la BCT. Les répercussions de la pandémie du covid-19 ont affecté l’économie réelle et l’économie parallèle. Les trois moteurs de croissance, à savoir l’investissement, l’exportation et la consommation, ont été tous affectés.
1
La récolte céréalière dans le gouvernorat de Nabeul est estimée cette saison à 1 million de quintaux, en légère hausse par rapport à la moyenne annuelle dans la région (950 mille quintaux). Les superficies consacrées cette année aux grandes cultures ont dépassé 71 mille hectares, dont 46 mille réservés aux céréales, 20 mille aux fourrages et 5 mille aux agrumes.
2
La récolte céréalière dans le gouvernorat de Siliana est estimée, cette saison, à 2 millions de quintaux, selon le commissariat régional au développement agricole. Elle est en hausse par rapport à la saison écoulée (1,7 million de quintaux), réalisant un rendement de 15 quintaux par hectare en moyenne. Le gouvernorat compte 26 centres de collecte de céréales.
49%
Les réserves d’eau des grands barrages à Jendouba ont régressé cette année, à 49%, par rapport aux années précédentes, dans ce gouvernorat qui renferme la réserve stratégique d’eau du pays et détient 16% de ses ressources dans ce domaine, selon la direction générale des barrages, relevant du ministère de l’Agriculture, de la Pêche et des Ressources hydrauliques.
17%
Les principales dépenses de l’Etat sont celles des salaires (38% du budget), le service de la dette (30%), le développement (13%) et les caisses de compensation (6%). La masse salariale de l’administration est devenue une charge de plus en plus lourde pour l’économie du pays et consomme actuellement près de 17% de la richesse créée.